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Le 06 mai 2025 à 13h30

Pour la Haute Autorité de santé, l’aide à mourir ne doit pas se baser sur un pronostic vital engagé «à moyen terme» ou une «phase terminale»

Pour la Haute Autorité de santé, l’aide à mourir ne doit pas se baser sur un pronostic vital engagé «à moyen terme» ou une «phase terminale»

Crédits photo : Francetv info



14h57 - L’avis publié ce mardi 6 mai par l’autorité indépendante estime que tout médecin doit savoir apprécier «la subjectivité» de la personne souffrante, «seule légitime pour dire ce qui relève pour elle de l’insupportable».

13h35 - A quelques jours de la reprise des débats à l'Assemblée nationale, la HAS invite les parlementaires à ne pas fixer un critère d'horizon temporel en cas de loi ouvrant un accès à l'euthanasie ou au suicide assisté.

13h20 - Dans un avis publié ce mardi 6 mai, la Haute Autorité de Santé (HAS) juge « impossible », faute de consensus médical, de se fonder sur la notion de pronostic vital engagé « à moyen terme » ou sur une « phase terminale » pour déterminer qui pourrait bénéficier d’une aide à mourir. Les débats autour de la législation sur la fin de vie doivent reprendre le 12 mai à l’Assemblée nationale.

12h30 - A quelques jours de la reprise des débats à l'Assemblée nationale, la HAS invite les parlementaires à ne pas fixer un critère d'horizon temporel en cas de loi ouvrant un accès à l'euthanasie ou au suicide assisté.

12h26 - La Haute autorité de Santé juge « impossible », faute de consensus médical, de déterminer qui pourrait bénéficier d'une aide à mourir en se basant sur un pronostic vital engagé « à moyen terme » ou sur une « phase terminale » de maladie, mais elle suggère de prendre en compte « la qualité du reste à vivre » de la personne.

12h26 - La Haute autorité de Santé juge « impossible », faute de consensus médical, de déterminer qui pourrait bénéficier d'une aide à mourir en se basant sur un pronostic vital engagé « à moyen terme » ou sur une « phase terminale » de maladie

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