Crédits photo : La Croix
16h16 - La Cour suprême coréenne a validé ce vendredi 4 avril la destitution de l’ancien président pour sa tentative de coup de force en décembre. Le pays doit désormais organiser une élection présidentielle d’ici au 3 juin. Opposition et parti au pouvoir se préparent déjà.
11h17 - La Cour constitutionnelle de Corée du Sud a confirmé la destitution du président Yoon Suk-yeol, une décision très attendue. À l'unanimité, les juges ont prononcé la sanction contre l'ex-président, jusque-là seulement suspendu. Il est désormais définitivement écarté du pouvoir en raison de sa tentative avortée d'imposer la loi martiale en décembre dernier. Une élection présidentielle sera organisée dans 60 jours.
08h39 - Le président Yoon Suk Yeol, qui était jusqu'à présent suspendu, est démis de ses fonctions. Une présidentielle anticipée doit être organisée sous 60 jours.
07h43 - L'ex-président sud-coréen Yoon Suk Yeol a présenté ses excuses vendredi, après sa destitution par la Cour constitutionnelle pour sa tentative ratée d'imposer la loi martiale en décembre.
07h20 - La Cour constitutionnelle de Corée du Sud a confirmé vendredi à l’unanimité la destitution du président Yoon Suk Yeol en raison de sa déclaration désastreuse de la loi martiale dans la nuit du 3 au 4 décembre.
07h20 - La Cour constitutionnelle de Corée du Sud a confirmé vendredi à l’unanimité la destitution du président Yoon Suk-yeol en raison de sa déclaration désastreuse de la loi martiale dans la nuit du 3 au 4 décembre.
06h19 - Après 111 jours, les huit juges de la Cour constitutionnelle sud-coréenne ont décidé de confirmer la destitution de Yoon Suk-yeol. Ils ont réfuté un par un les arguments de La Défense, estimant qu'"il a envoyé l'armée à l'Assemblée nationale le soir de l'instauration de la loi martiale et que les éléments invoqués pour la loi martiale n'étaient pas suffisants et dans la loi", explique Chloé Borgnon, correspondante pour France 24 à Séoul.
06h19 - Après 111 jours, les huit juges de la Cour constitutionnelle sud-coréenne ont décidé de confirmer la destitution de Yoon Suk-yeol. Ils ont réfuté un par un les arguments de La Défense, estimant qu'"il a envoyé l'armée à l'Assemblée nationale le soir de l'instauration de la loi martiale et que les éléments invoqués pour la loi martiale n'étaient pas suffisants et dans la loi", explique Chloé Borgnon, correspondante pour France 24 à Séoul.
06h19 - Après 111 jours, les huit juges de la Cour constitutionnelle sud-coréenne ont décidé de confirmer la destitution de Yoon Suk-yeol. Ils ont réfuté un par un les arguments de La Défense, estimant qu'"il a envoyé l'armée à l'Assemblée nationale le soir de l'instauration de la loi martiale et que les éléments invoqués pour la loi martiale n'étaient pas suffisants et dans la loi", explique Chloé Borgnon, correspondante pour France 24 à Séoul.
06h13 - Cette décision signifie le départ immédiat du pouvoir de Yoon Suk-yeol et entraînera une élection présidentielle anticipée sous 60 jours.
05h00 - À l’unanimité, la Cour constitutionnelle de Corée du Sud a confirmé vendredi 4 avril 2025 la motion de destitution votée en décembre par les députés contre le président Yoon Suk-yeol. Son parti a aussitôt fait savoir qu’il « accepte solennellement » le verdict, très attendu dans un pays encore sidéré.
04h49 - La Cour constitutionnelle de Corée du Sud a confirmé ce vendredi 4 avril 2025 la destitution du président Yoon Suk Yeol. Il avait tenté d’imposer la loi martiale le 3 décembre 2024 avant de faire marche arrière.
04h29 - Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a "violé" la Constitution en déclarant la loi martiale en décembre, a déclaré vendredi la Cour constitutionnelle dans son arrêt qui confirme la destitution du chef de l'État. Cette décision va entraîner une élection présidentielle anticipée sous 60 jours.
04h29 - Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a "violé" la Constitution en déclarant la loi martiale en décembre, a estimé vendredi la Cour constitutionnelle, qui confirme la motion de destitution du chef de l'État votée par l'Assemblée nationale à la mi-décembre. Une élection présidentielle anticipée sera organisée sous 60jours.