Crédits photo : Francetv info
17h15 - Le président conservateur Yoon Suk-yeol, dans une déclaration surprise, a proclamé la loi martiale et accusé l'opposition de vouloir "renverser le régime".
17h13 - Le président conservateur Yoon Suk-yeol, dans une déclaration surprise, a proclamé la loi martiale et accusé l'opposition de vouloir "renverser le régime".
16h30 - Le président sud-coréen a mis en place la loi martiale d'urgence ce mardi, interdisant toutes les activités politiques et plaçant le Parlement sous scellés. L'opposition a qualifié cette décision « d'illégale ».
16h30 - Le président sud-coréen a mis en place la loi martiale d'urgence ce mardi, interdisant toutes les activités politiques et plaçant le Parlement sous scellés. L'opposition a qualifié cette décision « d'illégale » et appelé à des manifestations.
16h25 - Le président conservateur Yoon Suk-yeol, dans une déclaration surprise, a proclamé la loi martiale et accusé l'opposition de vouloir "renverser le régime".
16h20 - Lors d’un discours non annoncé et diffusé en direct ce mercredi 3 décembre, Yoon Suk Yeol a décrété la loi martiale en Corée du Sud, fustigeant l’attitude de l’opposition, qui a rejeté une proposition de budget du gouvernement. Toutes les activités politiques sont interdites et le Parlement a été placé sous scellés, selon l’agence de presse « Yonhap ».
16h17 - Le président sud-coréen a déclaré mardi 3 décembre 2024 vouloir « protéger » le pays « de la menace des forces communistes nord-coréennes » et « éradiquer les abjectes forces antiétatiques pro nord-coréennes » pour justifier l’imposition de la loi martiale dans tout le pays.
16h05 - Le président sud-coréen déclare la loi martiale d'urgence
15h39 - Lors d’un discours non annoncé et diffusé en direct ce mercredi 3 décembre, Yoon Suk Yeol a décrété la loi martiale en Corée du Sud, sans toutefois annoncer de mesures concrètes. Le président sud-coréen a notamment fustigé l’attitude de l’opposition, qui a rejeté une proposition de budget du gouvernement.
15h35 - Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol a pris tout le monde de court en déclarant, ce mardi 3 novembre, la loi martiale, affirmant que cette mesure était nécessaire pour protéger le pays des «forces communistes nord-coréennes». Un discours qui vise l’opposition, accusée de paralyser le gouvernement.
15h35 - Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol a pris tout le monde de court en déclarant, ce mardi 3 novembre, la loi martiale, affirmant que cette mesure était nécessaire pour protéger le pays des «forces communistes nord-coréennes». Un discours qui vise l’opposition, accusée de paralyser le gouvernement.
15h14 - La mesure est censée permettre d'"éliminer les éléments anti-étatiques" qui menacent la Corée du Sud.
15h14 - La mesure est censée permettre d'"éliminer les éléments anti-étatiques" qui menacent selon lui la Corée du Sud.
14h59 - Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a déclaré mardi la loi martiale, affirmant que cette mesure était nécessaire pour protéger le pays des "forces communistes nord-coréennes", lors d'un discours non annoncé et diffusé en direct dans la soirée sur la chaîne de télévision YTN.
14h59 - Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a déclaré mardi la loi martiale, affirmant que cette mesure était nécessaire pour protéger le pays des "forces communistes nord-coréennes", lors d'un discours non annoncé et diffusé en direct dans la soirée sur la chaîne de télévision YTN.
14h59 - Le parlement sud-coréen a adopté une motion mercredi pour bloquer la loi martiale décrétée par le président Yoon Suk Yeol. Ce dernier a affirmé que cette mesure était nécessaire pour protéger le pays contre le Parti démocrate, majoritaire au Parlement, qualifié de "forces communistes nord-coréennes". Des manifestants se sont rassemblés devant le Parlement à l'appel du chef de l'opposition, qui a dénoncé une mesure "illégale".
14h55 - Dans une allocution télévisée mardi 3 décembre, le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a annoncé la déclaration de la loi martiale. Cette mesure est selon lui nécessaire pour protéger « la Corée du Sud libérale » des « forces communistes nord-coréennes et éliminer les éléments antiétatiques ».