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Le 26 novembre 2024 à 18h00

Birmanie : le procureur de la CPI requiert un mandat d’arrêt contre Min Aung Hlaing, le chef de la junte au pouvoir

Birmanie : le procureur de la CPI requiert un mandat d’arrêt contre Min Aung Hlaing, le chef de la junte au pouvoir

Crédits photo : France 24



11h06 - En invoquant "l'immunité" dont bénéficierait le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, visé par un mandat d'arrêt de la Cour Pénale internationale (CPI), Paris soulève de nombreuses questions et s'attire de vives critiques de juristes et d'ONG.

10h36 - Cette requête de la CPI survient sept ans après les crimes présumés, alors qu'environ un million de Rohingyas vivent entassés dans des camps au Bangladesh.

21h13 - Le général birman, à la tête d’une armée de plus en plus affaiblie, est dans le viseur de la Cour pénale internationale pour «des crimes contre l’humanité de déportation et de persécution commis à l’encontre des Rohingyas» depuis 2016.

17h59 - La CPI soupçonne le Premier ministre israélien et son ancien ministre de la Défense Yoav Gallant d’être «pénalement responsables» du crime de guerre de famine, ainsi que de crimes contre l’humanité.

17h47 - Le Premier ministre Benjamin Netanyahou avait qualifié la décision de la Cour pénale internationale (CPI) « d'antisémite ».

17h38 - Visée par une enquête depuis 2019 sur des crimes présumés dans l’est du pays, la junte est accusée de soumettre la minorité musulmane à un régime assimilé à l’apartheid.

17h38 - Israël a notifié mercredi la Cour pénale internationale (CPI) de son intention de faire appel des mandats d'arrêt visant le Premier ministre Benjamin Netanyahu et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant pour crimes de guerre.

17h35 - Après deux mois de conflit ouvert en Israël et la milice pro-iranienne Hezbollah, une fragile trêve est entrée en vigueur au Liban ce mercredi 27 novembre, sans durée précise.

17h28 - La CPI a émis un mandat d'arrêt à l'encontre du Premier ministre israélien le 21 novembre.

16h26 - Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu bénéficie d'une "immunité" qui "devra être prise en considération" en dépit du mandat d'arrêt émis contre lui par la Cour pénale internationale, a estimé mercredi la diplomatie française. 

14h41 - Le Quai d'Orsay invoque les obligations prevues dans le droit international liees aux >, ce qui est le cas d'Israel.

14h35 - Une requête pour un mandat d'arrêt contre Min Aung Hlaing, chef de la junte birmane, a été déposée mercredi par le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Karim Khan. Celui-ci déclare avoir des "motifs raisonnables" de croire que le général birman pourrait être pénalement responsable des "crimes contre l'humanité de déportation et de persécution commis à l'encontre des Rohingyas".

13h59 - Un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah est entré en vigueur au Liban mercredi 27 novembre à 4 heures du matin. Israël a notifié la Cour pénale internationale (CPI) de son intention de faire appel des mandats d’arrêt visant Benyamin Netanyahou et son ex-ministre de la défense.

13h09 - Le ministère français des affaires étrangères a estimé mercredi 27 novembre que le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou bénéficiait d’une « immunité », en dépit du mandat d’arrêt émis contre lui par la Cour pénale internationale (CPI).

13h02 - Après avoir assuré que la France respecterait la décision de la Cour Pénale Internationale ce mercredi 27 novembre, Jean-Noël Barrot a évoqué de possibles «questions d’immunité» pour «certains dirigeants» prévues par le traité de Rome.

12h52 - Mardi, Michel Barnier avait affirmé que la France appliquerait "rigoureusement les obligations qui lui incombent" si le Premier ministre israélien se rendait en France, sans donner davantage de précisions.

12h27 - L’État d’Israël ne reconnaissant pas la Cour pénale internationale (CPI), le Premier ministre Benyamin Netanyahou pourrait bénéficier d’« immunités », ce qui libérerait la France de son obligation de l’arrêter, indique le Quai d’Orsay ce mercredi 27 novembre.

12h09 - Après deux mois de conflit ouvert en Israël et la milice pro-iranienne Hezbollah, une fragile trêve est entrée en vigueur depuis 4 heures du matin ce mercredi 27 novembre, sans durée précise.

11h55 - Le ministre des Affaires étrangères français a entretenu un flou ce mercredi sur l'arrêt effectif du Premier ministre israélien s'il venait sur le territoire, après le mandat de la Cour pénale internationale.

11h49 - Mardi, Michel Barnier avait affirmé que la France appliquerait "rigoureusement les obligations qui lui incombent" si le Premier ministre israélien se rendait en France, sans donner davantage de précisions.

18h53 - Les pays du G7 ont fait savoir mardi qu'ils respecteraient leurs obligations "respectives" vis-à-vis du mandat d'arrêt émis par la Cour pénale internationale à l'encontre du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu. Contrairement aux autres membres du groupe – Canada, France, Allemagne, Royaume-Uni, Japon et Italie –, les États-Unis ne reconnaissent pas la CPI.

17h57 - Le Premier ministre n'a toutefois de façon explicite si Paris procéderait à l'arrestation du dirigeant israélien s'il se rendait sur le territoire français.

17h23 - Lors de la séance de questions au gouvernement de ce mardi 26 novembre, Michel Barnier, le Premier ministre, a été interrogé sur l’attitude la France concernant le mandat d’arrêt émis contre son homologue israélien, Benyamin Netanyahou, accusé d’avoir ordonné des crimes de guerres à Gaza. Le locataire de Matignon a affirmé que, le cas échéant, la France appliquerait le mandat de la Cour pénale internationale.

16h11 - A l’exception des Etats-Unis qui ne reconnaissent pas la Cour pénale internationale, les membres du G7 ont annoncé ce mardi 26 novembre qu’ils arrêteraient le Premier ministre israélien s’il se présentait sur l’un de leurs territoires.

14h07 - Les dirigeants européens sont divisés sur le mandat d'arrêt contre Benjamin Netanyahu

Sources

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