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09h15 - Le texte est soumis au vote solennel des députés mardi.
14h54 - Les députés ont voté ce samedi 24 mai pour la création d’un délit d’entrave à l’accès à l’aide à mourir. Il est similaire au délit d’entrave aux interruptions volontaires de grossesse (IVG).
14h01 - Les députés, qui se prononceront définitivement mardi sur deux propositions de loi (aide à mourir et soins palliatifs), ont aussi approuvé la création d'un délit d'entrave à l'accès à l'aide à mourir, tout en renforçant la peine encourue.
13h45 - Les députés ont achevé samedi 24 mai l’examen en première lecture de la proposition de loi relative au « droit à l’aide à mourir », sur laquelle ils voteront solennellement mardi. Chaque groupe accordera à ses membres la liberté de vote sur le texte qui devrait ensuite poursuivre son parcours au Sénat, à une date indéterminée.
12h47 - Après deux semaines déjà de débats autour de la loi sur la fin de vie, les députés ont approuvé samedi la création d'un délit contre le « fait d'empêcher ou de tenter d'empêcher » de « pratiquer ou de s'informer » sur ce sujet.
20h14 - Des amendements de suppression de l'alinéa en cause ont été approuvés à une courte majorité vendredi, avec un avis défavorable du rapporteur Stéphane Delautrette (PS) et un avis de sagesse du gouvernement.
18h27 - Alors qu’ils examinent en première lecture les propositions de loi sur la fin de vie, les députés de l’Assemblée nationale ont supprimé, vendredi 23 mai, une disposition selon laquelle les patients qui y auraient recours seraient « réputés décédés de mort naturelle ». Cet amendement suscite de vives réactions de la part de certains groupes.
18h06 - L’Assemblée nationale a adopté, vendredi 23 mai, les articles 8 à 11 de la proposition de loi sur le « droit à l’aide à mourir ». Au cours de débats vigoureux, certains députés ont insisté pour que le texte n’édulcore pas la réalité de l’acte euthanasique. La mention de « mort naturelle » a été retirée du texte.
06h39 - En votant, jeudi 22 mai au soir, l’article 6 du texte qui crée un droit à « l’aide à mourir », les députés ont acté la suite de la procédure, sans y apporter de modification substantielle. Aux yeux des opposants, la validation de la demande de mort par le médecin demeure trop solitaire et précipitée.