Crédits photo : La Croix
06h54 - La cour d’assises spéciale des mineurs de Paris a condamné jeudi 23 janvier Zaheer Mahmood, l’assaillant dans l’attaque au hachoir ayant visé Charlie Hebdo, à trente ans de prison. Le Pakistanais de 29 ans a également été notifié d’une interdiction définitive du territoire français.
20h14 - La cour d’assises spéciale des mineurs de Paris a condamné jeudi 23 janvier Zaheer Mahmood, l’assaillant dans l’attaque au hachoir visant Charlie Hebdo, à trente ans de prison. Le Pakistanais de 29 ans a également été notifié d’une interdiction définitive du territoire français.
19h50 - Condamné à 30 ans de prison jeudi, Zaheer Mahmood a été reconnu coupable de tentatives d'assassinats et association de malfaiteurs terroristes après avoir grièvement blessé deux personnes avec un hachoir à Paris devant les anciens locaux du journal Charlie Hebdo en 2020.
19h30 - Cette attaque à l'arme blanche avait eu lieu en plein procès des attentats de janvier 2015 ayant ciblé l'hebdomadaire satirique. L'assaillant, qui ignorait que la rédaction avait quitté les lieux, avait fait deux blessés.
19h29 - Zaheer Mahmood a a été reconnu coupable de tentatives d'assassinats et association de malfaiteurs terroriste après avoir grièvement blessé deux personnes avec un hachoir devant les anciens locaux du journal Charlie Hebdo.
19h29 - Zaheer Mahmood a a été reconnu coupable de tentatives d'assassinats et association de malfaiteurs terroriste après avoir grièvement blessé deux personnes avec un hachoir devant les anciens locaux du journal Charlie Hebdo.
19h26 - En septembre 2020, Zaheer Mahmood, un ressortissant pakistanais, avait gravement blessé deux employés de l’agence Premières Lignes devant les anciens locaux de l’hebdomadaire satirique.
19h19 - La cour d’assises spéciale des mineurs de Paris a condamné Zaheer Mahmood, 29 ans, à 30 ans de prison pour avoir agressé deux personnes avec une feuille de boucher, en septembre 2020, devant les anciens locaux de l’hebdomadaire satirique. Il visait « Charlie Hebdo » mais ignorait que le journal avait déménagé après l’attentat de 2015.