17h50 - Après deux jours de recompte par la commission de récolement, le PS affirme que le patron sortant a obtenu la majorité des votes des militants. Le camp de Nicolas Mayer-Rossignol dénonce encore «une décision unilatérale déplorable».
17h06 - "Nous appelons à la raison ceux qui imaginent qu'une solution de passage en force est envisageable", écrit le maire de Rouen dans un communiqué.
17h06 - "Nous appelons à la raison ceux qui imaginent qu'une solution de passage en force est envisageable", écrit le maire de Rouen dans un communiqué.
16h23 - Après avoir recompté les voix, la commission de récolement des votes du PS a déclaré Olivier Faure, vainqueur de l’élection à la tête du Parti socialiste. Une victoire que continue de lui contester son adversaire, Nicolas Mayer-Rossignol.
16h22 - Olivier Faure a été confirmé dimanche vainqueur du vote des adhérents pour désigner le premier secrétaire du Parti socialiste, à l'issue d'une commission de récolement, mais son concurrent, Nicolas Mayer-Rossignol, conteste toujours le résultat, a-t-on appris auprès des deux parties.
16h20 - "Nous appelons à la raison ceux qui imaginent qu'une solution de passage en force est envisageable", a écrit le maire de Rouen dans un communiqué.
16h20 - Olivier Faure a été confirmé vainqueur de l'élection de Premier secrétaire du Parti socialiste ce dimanche après un nouveau décompte. Un résultat que conteste toujours son opposant, Nicolas Mayer-Rossignol.
16h20 - "Nous appelons à la raison ceux qui imaginent qu'une solution de passage en force est envisageable", a écrit le maire de Rouen dans un communiqué.
16h15 - Après deux jours de recompte par la commission de récolement, affirme que le patron sortant a obtenu la majorité des votes des militants. Quelques minutes auparavant, le camp de Nicolas Mayer-Rossignol contestait toujours un «passage en force».
16h15 - Après deux jours de recompte par la commission de récolement, le PS affirme que le patron sortant a obtenu la majorité des votes des militants. Quelques minutes auparavant, le camp de Nicolas Mayer-Rossignol contestait toujours un «passage en force».