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Le 20 juin 2022 à 14h00

Paris : une enquête ouverte notamment pour "harcèlement moral en ligne et menaces de mort", visant le personnel d'un lycée

16h01 - Le parquet de Paris a confirmé lundi 20 juin l’ouverture d’une enquête pour menaces de mort et harcèlement en ligne contre la conseillère principale d’éducation d’un lycée parisien. Celle-ci avait exigé qu’une candidate retire son voile pour pouvoir passer les examens du baccalauréat.

15h37 - Une enquête a été ouverte vendredi 17 juin par le pôle national de lutte contre la haine en ligne du parquet de Paris après une plainte d’une conseillère principale d’éducation (CPE) du lycée parisien Charlemagne, victime de menaces de mort et de harcèlement en ligne.

14h34 - Une Conseillère principale d’éducation se dit victime de menaces de mort et de harcèlement en ligne depuis une altercation avec une lycéenne portant le voile le jour du baccalauréat de philosophie. Une enquête a été ouverte vendredi 17 juin 2022.

14h19 - Le parquet de Paris a ouvert une enquête vendredi après qu'une Conseillère principale d'éducation (CPE), victime de harcèlement et de menaces de mort, a porté plainte. La CPE en question aurait interdit l'accès du lycée Charlemagne à une jeune fille portant le voile, ce qui lui aurait valu une vague de messages haineux sur les réseaux sociaux.

13h56 - La CPE du lycée Charlemagne à Paris a reçu des menaces après avoir demandé à une élève qui venait passer des épreuves du bac de retirer son voile. Une enquête est ouverte.

17h30 - Selon le rectorat une élève a refusé de retirer son voile, jeudi, avant de rentrer dans l'établissement pour une épreuve du baccalauréat entraînant une vive altercation. Le lendemain, le rectorat a constaté que des menaces de mort, à l'encontre du personnel éducatif avaient été proférées sur les réseaux sociaux.

17h30 - Selon le rectorat une élève a refusé de retirer son voile, jeudi, avant de rentrer dans l'établissement pour une épreuve du baccalauréat entraînant une vive altercation. Le lendemain, le rectorat a constaté que des menaces de mort, à l'encontre du personnel éducatif avaient été proférées sur les réseaux sociaux.

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