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Le 20 février 2025 à 10h00

Jugé pour "insurrection", le président sud-coréen Yoon Suk-yeol dit avoir voulu empêcher l'instauration d'une "dictature"

Jugé pour "insurrection", le président sud-coréen Yoon Suk-yeol dit avoir voulu empêcher l'instauration d'une "dictature"

Crédits photo : Francetv info



10h10 - Le chef d'Etat risque la peine de mort ou la prison à vie. Il s'agit du premier procès pénal d'un président en exercice dans l'histoire de la Corée du Sud.

10h06 - Accusé d’« insurrection » pour avoir tenté d’imposer la loi martiale en décembre, le président sud-coréen Yoon Suk Yeol voulait empêcher une « dictature législative », a plaidé sa défense lors de la première audience de son procès au pénal ce jeudi 20 février.

09h52 - Le président sud-coréen suspendu après avoir tenté d’appliquer la loi martiale en décembre dernier, a été entendu pour la première fois ce jeudi 20 février par le tribunal central de Séoul. De son côté, la Cour constitutionnelle a jusqu’au 10 juin pour se prononcer sur la destitution définitive ou non du dirigeant.

07h48 - Le procès au pénal du président sud-coréen Yoon Suk Yeol, 64 ans, s’est ouvert jeudi 20 février à Séoul. Il est accusé d’« insurrection » pour sa tentative ratée d’imposer la loi martiale, un crime passible de la peine de mort ou de la prison à vie et qui n’est pas couvert par son immunité présidentielle.

06h43 - Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol, accusé d'"insurrection" pour avoir tenté d'imposer la loi martiale en décembre, voulait empêcher une "dictature législative", a soutenu sa défense lors de la première audience jeudi de son procès au pénal. Le décryptage de Chloé Borgnon, correspondante France 24 à Séoul, en Corée du Sud

02h51 - Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol, destitué après avoir tenté d'imposer la loi martiale, a assisté, jeudi, à la première audience au tribunal central de Séoul de son procès au pénal pour insurrection. Alors qu'il est resté silencieux, son avocat a défendu qu'il avait agi pour empêcher une "dictature législative".

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