Crédits photo : Francetv info
12h58 - Samedi dans la deuxième ville du Pakistan, l'indice de la qualité de l'air a atteint un niveau 40 fois supérieur à celui jugé acceptable par l'OMS.
12h36 - Dans la deuxième ville du pays, les concentrations de particules fines ont atteint des sommets le samedi 2 novembre, mettant gravement en danger la santé de la population. Les écoles seront fermées pour éviter d’exposer des millions d’enfants au smog.
15h09 - L’indice de la qualité de l’air y a atteint ce samedi 2 novembre un niveau recours.
13h41 - L'indice de la qualité de l'air a atteint un pic à 1 067, avant de redescendre autour de 300 dans la matinée samedi. L'OMS considère que l'air est "mauvais" à partir de 180.
13h11 - L'indice de la qualité de l'air a atteint un pic à 1 067, avant de redescendre autour de 300 dans la matinée samedi. L'OMS considère que l'air est considéré comme "mauvais" à partir de 180.
13h01 - Dans la deuxième ville du pays d’Asie du Sud, les concentrations de particules fines ont atteint des sommets ce 2 novembre, mettant gravement en danger la santé de la population.
10h44 - Dans la deuxième ville du pays d’Asie du Sud, les concentrations de particules fines ont atteint des sommets ce 2 novembre, mettant gravement en danger la santé de la population.
09h27 - L'indice de la qualité de l'air a atteint un pic à 1 067, avant de redescendre autour de 300 dans la matinée samedi, alors que l'OMS
08h59 - La pollution atmosphérique à Lahore, la deuxième ville du Pakistan, a atteint samedi un record historique, plus de 80 fois supérieur à celui jugé acceptable par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), a déclaré à l'AFP un responsable gouvernemental.
08h59 - L'air est irrespirable à Lahore, au Pakistan, où la pollution atmosphérique a atteint samedi un record historique, plus de 80 fois supérieur à celui jugé acceptable par l’OMS), a déclaré à l’AFP un responsable gouvernemental.
08h59 - L'air est irrespirable à Lahore, au Pakistan, où la pollution atmosphérique a atteint samedi un record historique, plus de 40 fois supérieur à celui jugé acceptable par l’OMS), a déclaré à l’AFP un responsable gouvernemental.