facebook alerte-info.com
Le 17 janvier 2025 à 20h15

Bachar al-Assad visé par un mandat d’arrêt international français pour complicité de crime de guerre

05h08 - Bachar al-Assad, président déchu de la Syrie renversé par une alliance rebelle en décembre 2024, est visé par un nouveau mandat d'arrêt pour complicité de crime de guerre émis par des juges français. En cause, le bombardement d'une zone d'habitations civiles imputé au régime de Damas en 2017.

19h29 - Deux juges français ont signé, lundi 20 janvier, un mandat d’arrêt contre Bachar al-Assad, pour le bombardement d’une zone d’habitations civiles dans lequel est mort un franco-syrien en 2017.

18h56 - La justice a établi la complicité du dirigeant déchu, exilé en Russie, dans un bombardement sur la ville de Deraa en 2017.

17h54 - Deux juges d’instruction françaises ont émis ce lundi un mandat d’arrêt pour complicité de crimes de guerre contre le président syrien déchu. En tant que « commandant en chef des forces armées », il est tenu responsable d’un bombardement à Deraa ayant tué un civil en 2017, a appris l’AFP.

17h42 - Deux juges françaises, du pôle crimes contre l'humanité du tribunal judiciaire de Paris, ont émis un mandat d'arrêt contre Bachar al-Assad, qui aurait ordonné des frappes de l'armée syrienne en 2017 sur un civil franco-syrien, à Deraa.

17h40 - Un mandat d’arrêt pour complicité de crimes de guerre a été émis par eux juges d’instruction françaises à l’encontre de l’ancien président syrien Bachar Al Assad, a-t-on appris mardi 21 janvier. Il s’agit du deuxième mandat d’arrêt émis par des juges français.

14h49 - Selon le parquet, l'ancien chef d'Etat aurait entretenu une relation avec une mineure en 2015. Une petite fille serait née un an plus tard, avec le consentement des parents en échange d'avantages.

09h59 - L’homme politique bolivien de 65 ans, qui souhaite revenir au pouvoir, est soupçonné de «traite» et d’avoir entretenu une relation en 2015 avec une adolescente de 15 ans. Lui dénonce des persécutions.

08h45 - L'ancien président bolivien Evo Morales, qui cherche à revenir au pouvoir, dénonce une « justice partiale et soumise » au gouvernement de son ancien allié Luis Arce, après l'émission d'un mandat d'arrêt à son encontre pour traite de mineure.

05h15 - Evo Morale a dénoncé une « justice partiale et soumise » au gouvernement de son ancien allié Luis Arce. L'ex-chef d'État est accusé d’avoir entretenu une relation en 2015 avec une adolescente de 15 ans, avec le consentement des parents, en échange d’avantages.

21h41 - L'ancien président bolivien Evo Morales, qui cherche à revenir au pouvoir, a dénoncé vendredi une "justice partiale et soumise" au gouvernement de son ancien allié Luis Arce, après l'émission d'un mandat d'arrêt à son encontre dans le cadre d'une affaire de "traite" de mineure.

21h41 - Evo Morales, qui cherche à revenir au pouvoir, a dénoncé vendredi une "justice partiale et soumise" au gouvernement de son ancien allié Luis Arce. Cette réaction fait suite au mandat d'arrêt qui a été émis à l'encontre de l'ancien président bolivien dans le cadre d'une affaire de "traite" de mineure.

20h03 - En Bolivie, un juge a ordonné vendredi 17 janvier l’arrestation d’Evo Morales pour « traite » de mineur. Pour la deuxième fois, l’ancien président ne s’était pas présenté à l’audience prévue dans le cadre de cette affaire.

19h49 - L'ancien chef d'Etat est accusé de « traite » d'une mineure en raison d'un présumé arrangement conclu avec ses parents.

19h16 - Des partisans de l'ancien président bolivien Evo Morales affrontent la police

Sources

Hashtags