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09h12 - Un demi-siècle après l’adoption de la loi portée par Simone Veil, un collectif de personnalités féministes, artistiques et politiques réclame justice pour les femmes condamnées pour avoir avorté avant 1975 ou celles qui sont mortes des suites d'un avortement clandestin. Elles demandent dans une tribune la réhabilitation de ces femmes afin de restaurer leur dignité et de reconnaître leur place dans l'histoire des droits des femmes.
08h00 - Disparités géographiques et sociales, manque de structures, délais trop longs… ans après la loi Veil qui a dépénalisé l’IVG, l’accès à l’avortement reste parfois compliqué sur le territoire français.
07h00 - Le 17 janvier 1975, la loi Veil dépénalisant l’interruption volontaire de grossesse (IVG) était promulguée. Cinquante plus tard, des Françaises se rendent encore à l’étranger afin d’avorter car elles ont dépassé le délai légal. Léa, 25 ans, a accepté de raconter à « Ouest-France » son expérience dans une clinique des Pays-Bas.
06h30 - Déserts médicaux, clause de conscience, absence d’un répertoire des soignants pratiquants l’IVG… Malgré l’inscription dans la Constitution de la liberté d’avorter, en 2024, l’accès à l’avortement reste entravé et inégal sur le territoire. Décryptage.
06h02 - Le 17 janvier 1975, la loi autorisant l'interruption volontaire de grossesse était promulguée en France. Un demi-siècle plus tard, et malgré un arsenal législatif étendu, les femmes souhaitant avorter font toujours face au manque de médecins volontaires, de structures médicales ou à des pressions extérieures.
06h02 - Le 17 janvier 1975, la loi Veil dépénalisait l’avortement, après plusieurs années de mobilisation des féministes. Avant cette date, la pratique s’exerçait dans la clandestinité, au péril de la santé des femmes et de leur liberté.
05h45 - Depuis la promulgation de la loi Veil, il y a cinquante ans ce 17 janvier 2025, le nombre d’avortements est resté étonnamment stable sur la durée et connaît même depuis trois ans une hausse marquée. Un phénomène lié à plusieurs facteurs, notamment le poids d’une « norme procréative » peu favorable à l’accueil de l’enfant.