Crédits photo : Ouest France
16h35 - Un groupe d'historiens franco-haïtiens va plancher sur des recommandations de l'indemnité financière imposée par la France à son ex-colonie Haïti en échange de l'octroi de son indépendance il y a 200 ans.
16h19 - Emmanuel Macron a annoncé jeudi 17 avril la création d’une commission d’historiens franco-haïtiens chargée d’étudier « l’impact » sur Haïti de la « très lourde indemnité financière » imposée par la France à son ex-colonie en échange de l’octroi de son indépendance il y a 200 ans.
16h12 - Emmanuel Macron a annoncé jeudi 17 avril 2025 qu’une commission franco haïtienne d’historiens allait étudier « l’impact » sur Haïti de la « lourde indemnité financière » imposée par la France à son ex-colonie en échange de son indépendance. Le chef de l’État n’a pas évoqué une éventuelle réparation financière.
15h53 - Emmanuel Macron souhaite un travail de mémoire pour étudier "l'impact" sur Haïti de la "très lourde indemnité financière" imposée par la France en 1825. Le président français a promis de faire des "recommandations" à l'issue de ce rapport, qui sera livré par une commission franco-haïtienne d'historiens. Il n'évoque pas, à ce stade, une éventuelle réparation financière, telle que réclamée par les autorités haïtiennes.
15h53 - Emmanuel Macron souhaite qu'un travail de mémoire soit effectué pour étudier "l'impact" sur Haïti de la "très lourde indemnité financière" imposée par la France, en 1825. Il n'évoque pas, à ce stade, une éventuelle réparation financière, telle que réclamée par les autorités haïtiennes.
11h34 - Emmanuel Macron doit reconnaître jeudi 17 avril une "forme d'injustice initiale" imposée à Haïti, qui dut payer une indemnité colossale voulue par la France en échange de son indépendance, et lancer un travail de mémoire avant de trancher une éventuelle réparation. Jacques Nesi, politologue à l'Université des Antilles, était sur France 24 pour évoquer cette actualité.
17h39 - Nos finances publiques sont a ce point degradees que leur retablissement necessiterait d'en passer par du sang et des larmes. A tout le moins par des reformes d'ampleur. Tout ce que ne peut pas faire le Premier ministre.