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04h40 - Revirement de situation en Corée du Sud. Le président Yoon Suk-yeol, menacé de destitution après sa tentative d'imposer la loi martiale il y a une semaine, a affirmé jeudi 12 décembre qu'il "se battra jusqu'à la dernière minute", accusant l'opposition de provoquer "une crise nationale". Ce que l'on peut retenir de son discours surprise, c'est qu"il n'a pas l'intention de démissionner", rapporte la correspondante de France 24 à Séoul, Chloé Borgnon.
04h25 - Lors d'un discours télévisé, le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a promis jeudi de "se battre jusqu'à la dernière minute" et accusé l'opposition, dont les parlementaires prévoient de soumettre au vote samedi une motion de destitution, de provoquer "une crise nationale".
02h58 - Plus d’une semaine après l’éphémère déclaration de la loi martiale, le président sud-coréen Yoon Suk Yeol a à nouveau accusé l’opposition parlementaire de provoquer une « crise nationale ». Au cours d’une allocution télévisée d’environ une demi-heure, il n’a pas exprimé d’intention de démissionner, alors une nouvelle motion de destitution doit être soumise au vote samedi.