Crédits photo : La Croix
07h00 - L’enquête sur les soupçons d’ingérence du Qatar et du Maroc au Parlement européen se poursuit. Marc Tarabella a été inculpé et placé en détention provisoire, samedi 11 février. Il clame son innocence.
16h22 - L’eurodéputé belge Marc Tarabella a été inculpé notamment pour « corruption », puis placé en détention provisoire, samedi 11 février, dans l’enquête sur des soupçons d’ingérence du Qatar et du Maroc dans les décisions du Parlement européen.
14h56 - Il est la premiere personnalite belge mise en cause dans ce scandale. L'eurodepute Marc Tarabella a ete inculpe et place en detention provisoire...
14h33 - L'élu socialiste a été écroué samedi après son inculpation pour "corruption", "blanchiment d'argent" et "participation à une organisation criminelle", a précisé à l'AFP le porte-parole du parquet fédéral, Eric van der Sijpt.
14h33 - L'élu socialiste a été écroué samedi après son inculpation pour "corruption", "blanchiment d'argent" et "participation à une organisation criminelle", a précisé à l'AFP le porte-parole du parquet fédéral, Eric van der Sijpt.
14h23 - Il avait demandé à être entendu depuis le mois de décembre, mais il a fallu attendre la levée de son immunité parlementaire. Marc Tarabella est désormais le quatrième inculpé dans le scandale de corruption impliquant le Qatar et le Maroc.
13h41 - L'eurodepute Marc Tarabella a ete place en detention provisoire. Il est soupconne d'implication dans l'enquete sur des corruptions au sein du Parlement europeen.
13h40 - Le parquet fédéral belge a indiqué ce samedi 11 février 2023 que l’eurodéputé socialiste Marc Tarabella avait été placé en détention provisoire. Une incarcération en lien avec les soupçons d’ingérence du Qatar et du Maroc au sein du Parlement européen.
13h31 - Les eurodéputés belge Marc Tarabella et italien Andrea Cozzolino sont soupçonnés d'avoir favorisé l'ingérence du Qatar et du Maroc dans les décisions de l'institution.
13h31 - Les eurodéputés belge Marc Tarabella et italien Andrea Cozzolino sont soupçonnés d'avoir favorisé l'ingérence du Qatar et du Maroc dans les décisions de l'institution.