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22h25 - Le dispositif, expérimenté depuis 2023 dans les hôpitaux de la capitale, permet aux victimes de violences sexuelles de conserver les preuves d’un viol ou d’une agression, tant qu’elles ne souhaitent pas porter plainte. Un outil pour éviter un classement sans suite ou une absence de condamnation faute d’éléments matériels.
18h37 - L’Assistance publique hôpitaux de Paris (AP-HP) a signé jeudi 10 octobre 2024 une convention avec le parquet de Paris et la préfecture de police pour permettre à l’hôpital de l’Hôtel-Dieu de recueillir des preuves, notamment des prélèvements ADN, chez des victimes qui ne souhaitent pas porter plainte dans l’immédiat.
17h44 - Les victimes de violences sexuelles à Paris, qui ne souhaiteraient pas immédiatement porter plainte, pourront toutefois être examinées par des médecins légistes pour conserver les preuves, ont annoncé jeudi le parquet de Paris, l'AP-PH et la préfecture de police dans un communiqué commun.