Crédits photo : La Croix
08h52 - L'ancien président français, en exercice lors de l'attentat du 14 juillet 2016 sur la promenade des Anglais, a assuré que la vigilance contre contre la menace terroriste après l'Euro-2016 de football ne s'était pas relâchée.
08h00 - L’ancien procureur a été interrogé lundi 10 octobre sur les autopsies faites sur les victimes de l’attentat de Nice. François Molins a estimé que prélever des organes entiers « ne se justifiait pas ».
07h00 - Les deux hommes ont temoigne lundi sur la securisation de la promenade des Anglais le 14 juillet 2016 a Nice. L'Etat a >, estime l'ex-president.
19h45 - L’ancien chef de l’État et son ministre de l’intérieur au moment des faits ont témoigné, ce lundi 10 octobre, devant la cour d'assises de Paris, défendant prudemment leur action alors que la sécurisation de la promenade des Anglais, ce soir du 14 juillet 2016, avait fait l’objet d’une virulente polémique.
17h40 - L’ancien procureur de Paris a été interrogé lundi 10 octobre par la cour d’assises de Paris sur la douleur de familles ayant appris très tardivement que des autopsies avaient été faites sur leur proche décédé. François Molins a estimé que le choix fait à Nice de prélever des organes entiers « ne se justifiait pas ».
16h55 - Devant la cour d'assises spéciale de Paris au procès de l'attentat de Nice, l'ancien président de la République François Hollande a assurer qu'il "n'y a pas eu de relâchement" dans la lutte contre la menace terroriste avant le drame. L'ex-chef de l'Etat a aussi mis en garde contre le "danger toujours représenté par la propagande islamiste."
16h29 - Tres attendu par les parties civiles, l'ancien procureur de la Republique de Paris est revenu sur la douloureuse question des autopsies de certaines victimes.
13h19 - Ex-procureur de la République de Paris en 2016, alors chargé des affaires de terrorisme au niveau national, François Molins a expliqué ce lundi 10 octobre, devant la Cour d’assises spéciale, les décisions qu’il a prises après l’attaque au camion-bélier du 14 juillet 2016. Il a défendu les autopsies demandées, qui seront réalisées sur quatorze victimes, mais estimé que les prélèvements d’organes dénoncés par des familles « n’étaient pas tous justifiés ».
13h16 - L'ancien procureur antiterroriste Francois Molins a estime lundi au proces de l'attentat de Nice que le choix fait par les medecins legistes de...
09h30 - Les anciens procureur, président de la République et ministre de l'Intérieur sont attendus à la barre de la cour d'assises spécialement composée de Paris chargée de juger l'attentat du 14 juillet 2016 sur la Promenade des Anglais.
06h38 - Ce lundi 10 octobre 2022 sera sans conteste une journée importante dans le procès de l’attentat de Nice, qui avait fait 86 morts en juillet 2016. François Hollande, l’ancien président de la République, Bernard Cazeneuve, l’ancien ministre de l’Intérieur, et François Molins, l’ancien procureur de la République de Paris, vont en effet être appelés à la barre. Ce dernier sera notamment interrogé sur les organes prélevés sur le corps de certaines victimes.
04h06 - Pourquoi des organes ont-ils ete preleves sur des victimes de l'attentat de Nice? L'ancien procureur antiterroriste Francois Molins doit repondre a...
04h05 - Paris - Pourquoi des organes ont-ils été prélevés sur des victimes de l'attentat de Nice? L'ancien procureur antiterroriste François Molins doit répondre à cette douloureuse question lundi à l'occasion de son audition devant la cour d'assises spéciale de Paris.
04h05 - Paris - L'ancien procureur antiterroriste François Molins a estimé lundi au procès de l'attentat de Nice que le choix fait par les médecins légistes de prélever l'entièreté des organes de certaines victimes "ne se justifiait pas", tout en défendant la nécessité des autopsies pour les besoins de l'enquête.