Crise industrielle : la reprise de Vencorex attribuée au chinois Wanhua

19h00 - "Ne pas sauver Vencorex est une décision politique dont les conséquences économiques, environnementales et sociales seraient désastreuses", prévient La France insoumise dans un communiqué publié jeudi.

18h38 - "Je vois qu'il n'y a que des paroles et qu'il n'y a pas d'acte", dénonce Séverine Dejoux, jeudi sur franceinfo. Le groupe chinois Wanhua gardera une cinquantaine d'emplois sur 450.

14h29 - Le sel fabriqué dans l'usine du Pont-de-Claix, en Isère, est indispensable aux filières spatiales et nucléaires. Près de 300 emplois sont menacés par cette reprise actée jeudi par le tribunal de commerce de Lyon.

12h19 - Selon la décision du tribunal de commerce de Lyon, la reprise partielle de l’usine chimique Vencorex, près de Grenoble, a été attribuée jeudi 10 avril 2025 au groupe chinois Wanhua. Le prix de cession est de 1,2 million d’euros, et le repreneur gardera 54 emplois sur 450.

11h50 - Le tribunal de commerce de Lyon a choisi l’offre de reprise déposée par Wanhua, jeudi 10 avril, prévoyant le maintien de 54 postes. En redressement judiciaire depuis septembre 2024, le groupe chimique installé dans l’Isère ne sera pas repris par ses salariés.

11h46 - L’offre concurrente montée par des salariés et des collectivités locales, qui aurait permis de protéger plus d’emplois, a été jugée «irrecevable» ce jeudi 10 avril par le tribunal de commerce.

11h43 - Wanhua, est le principal concurrent de Vencorex, via une filiale hongroise (BorsodChem). Il prévoit d'investir 10 millions d'euros et de ne conserver que 50 emplois sur les 300 employés restants du site près de Grenoble (Isère).

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