Crédits photo : Sport.fr
23h40 - Luis Enrique a fait le choix de ne pas convoquer Ousmane Dembélé pour ce choc de la Ligue des champions entre Arsenal et le PSG, pour le plus grand plaisir des Gunners et de William Saliba. « L’absence de Dembélé ? Ça nous a fait du bien quand on a appris qu’il n’était pas là, mais on savait qu’ils avaient d’autres joueurs pour pallier son absence. Mais, oui, son absence nous a fait du bien », a assuré l’international français au micro de Canal +. Voilà qui devrait encore un peu plus énerver les supporters du PSG, qui n’avaient pas compris cette décision de se passer d’Ousmane Dembélé. Une déclaration encore plus difficile à avaler après la défaite du PSG 2 à 0 à Arsenal.
23h30 - Le Paris Saint-Germain a subi sa première défaite de la saison en Ligue des Champions, battu par Arsenal (0-2) ce mardi. Les Gunners ont dominé le match à l’Emirates Stadium et ont parfaitement exploité les faiblesses défensives des Parisiens. Gianluigi Donnarumma, en particulier, a été mis en cause pour une mauvaise lecture de plusieurs situations, notamment sur les deux buts encaissés. Les Parisiens ont été incapables de revenir malgré quelques occasions et une domination du ballon en seconde période. Le capitaine du PSG, Marquinhos, a lui-même reconnu ces difficultés après le match au micro de Canal + : « Ça a été un début de match compliqué, on a mis du temps pour se placer et presser. On a fait des erreurs qu’on a payées avec des buts, ils ont profité de notre faiblesse, deux buts sur des centres. Ce match va nous servir pour nous améliorer pour la suite. On était venu pour faire un bon match, on n’a pas réussi au début, mais c’était mieux en deuxième mi-temps, on a joué dans leur camp, c’est ce qu’on aurait dû faire avant. Il faut que les autres équipes sachent qu’on peut faire beaucoup plus que ça », a analysé le capitaine parisien.
22h30 - À l’occasion d’un documentaire à venir sur les ondes de Movistar, Luis Enrique, l’entraîneur du PSG, se livre notamment sur les raisons qui l’ont poussé à rejoindre le club de la capitale. L’Espagnol, qui a pris les rênes du club en pleine phase de transition, explique que c’est ce contexte particulier qui l’a convaincu de signer. « Je dois convaincre, le président et Campos, que c’est la bonne voie. Avec les joueurs précédents, je ne serais pas venu. Ils n’avaient pas besoin de moi pour ça. Je suis venu parce que les circonstances étaient celles que je souhaitais », déclare-t-il, faisant référence, sans les nommer, à Messi, Neymar et Verratti, tous partis lors de son arrivée. Liberté était la clé Luis Enrique évoque aussi l’aspect financier et sa volonté d’instaurer un changement de modèle : « J’ai dit : ‘s’il y a ces joueurs, je viendrai’. Mais en toute liberté. Nous essaierons à l’avenir de ne pas payer des sommes exorbitantes aux joueurs qui n’ont pas ce prix-là. Ce n’est pas bon pour le footballeur ni pour la santé sportive. » Cette condition d’une liberté totale a été clé dans ses discussions avec Luis Campos : « Quand j’ai parlé pour la première fois avec Luis Campos, je lui ai dit très clairement que si je venais il y aurait un changement de modèle. Sinon, je ne serais pas allé au Paris Saint-Germain. Liberté totale, absolue ? Oui ? Eh bien, j’y vais. »