Crédits photo : Francetv info
19h53 - Il etait poursuivi pour des propos ecrits sur son site en 2020 au sujet d'une universitaire.
17h34 - Le souverain pontife aurait proféré cette remarque sexiste au cours d’une réunion privée avec plusieurs dizaines de prêtres du diocèse de Rome, a rapporté jeudi 30 mai le média italien «Silere Non Possum».
18h30 - Le souverain pontife "n'a jamais eu l'intention d'offenser ou de s'exprimer avec des propos homophobes et adresse ses excuses à ceux qui se sont sentis offensés par l'utilisation d'un mot", a-t-il expliqué mardi dans un communiqué.
17h34 - Le souverain pontife "n'a jamais eu l'intention d'offenser ou de s'exprimer avec des propos homophobes et adresse ses excuses à ceux qui se sont sentis offensés par l'utilisation d'un mot", a-t-il expliqué mardi dans un communiqué.
17h34 - Le souverain pontife avait utilisé le terme « frociaggine » pour désigner les homosexuels dans l'Eglise, un mot considéré comme insultant.
17h23 - Le pape François a présenté ses excuses pour avoir employé le terme italien "frociaggine" considéré comme insultant pour la communauté homosexuelle, lors d'une conférence avec des évêques. Ces derniers ont qualifié l'incident de "gaffe" involontaire, due au fait qu'il ne s'agit pas de la langue maternelle du souverain pontife.
16h05 - Après avoir demandé aux évêques de ne pas accueillir de personnes homosexuelles lors de séminaires religieux, le pape François s'est excusé ce mardi 28 mai d'après le Vatican.
15h52 - Le pape François, qui avait été critiqué après avoir utilisé un mot du dialecte de Rome considéré en italien comme une insulte vulgaire envers les homosexuels, s’est excusé ce mardi 28 mai via un communiqué diffusé par le Vatican.
15h41 - Au cours de l’assemblée de la Conférence épiscopale italienne, le pontife - argentin - a employé un terme du dialecte de Rome considéré comme insultant envers les homosexuels. Certains évêques plaident la bourde mais le fond du sujet reste éminemment problématique.
06h45 - Le pape François a présenté, mardi 28 mai, ses « excuses » huit jours après avoir évoqué en des termes vulgaires, lors d’une réunion à huis clos avec les évêques italiens, la présence d’homosexuels dans les séminaires.