11h38 - Le chef d'etat-major des Armees s'est exprime mardi soir lors du Congres des maires de France. Ses propos ont fait reagir. Voici l'integralite de son discours.
19h56 - Fabien Mandon a provoqué un choc en évoquant la nécessité pour les Français d’être prêts à faire des sacrifices économiques et humains dans le contexte de menace russe. Au moment où le pays est en proie à des problèmes budgétaires aigus, ces propos ont suscité les vives critiques de plusieurs partis.
18h07 - Le général Fabien Mandon a estimé, mardi 18 novembre, que la France devait «accepter de perdre ses enfants» en cas de menace. Mais la volonté de défendre notre démocratie doit venir d’une aspiration populaire et rien ne dit que la jeunesse, face au danger, ne saurait s’engager.
16h56 - "Notre responsabilité est claire : éviter tout affrontement mais nous y préparer, et consolider l’esprit de défense, cette force morale collective sans laquelle aucune nation ne pourrait tenir dans l’épreuve", a déclaré jeudi la ministre des Armées, Catherine Vautrin.
15h54 - "Ses propos, sortis de leur contexte à des fins politiciennes, relèvent du langage militaire d'un chef qui, chaque jour, sait que de jeunes soldats risquent leur vie pour la Nation", a affirmé sur X la ministre des Armées.
15h25 - Après le discours choc du chef d'état-major des Armées, mardi, devant les maires de France, la ministre dénonce « des propos, sortis de leur contexte à des fins politiciennes ».
15h00 - "Si notre pays flanche parce qu'il n'est pas prêt à accepter de perdre ses enfants (...) alors on est en risque", déclarait le général Mandon, chef d'état major des armées, mardi 18 novembre devant les maires de France. Ses propos ont entraîné un torrent de réactions.
14h54 - Après le discours choc du chef d'état-major des Armées, mardi, devant les maires de France, la ministre dénonce « des propos, sortis de leur contexte à des fins politiciennes ».
11h51 - Une petite phrase qui ne passe pas. Le chef d'état-major des Armées, Fabien Mandon, a estimé ce mardi, lors du Congrès des maires de France, que le pays devait être prêt "à perdre ses enfants". Dès octobre, il avait indiqué que la France devait être prête "à un choc dans trois, quatre ans" avec la Russie.
10h42 - Le chef de l’armée française, le général Fabien Mandon, a déclenché une polémique en déclarant au Congrès des maires de France que le pays devait « accepter de perdre ses enfants » et que les édiles devaient préparer les populations. Plusieurs responsables politiques, notamment chez LFI et au RN, ont vivement réagi.
08h44 - Le plus haut gradé français, le général Fabien Mandon, a déroulé mardi 18 novembre au Congrès des maires un discours guerrier et anxiogène face à la menace russe, suscitant depuis la colère de plusieurs personnalités de LFI, du PCF et du RN.
23h45 - Le général Fabien Mandon a fait cette déclaration mardi lors d'un discours devant les maires.
23h45 - Le général Fabien Mandon a fait cette déclaration mardi lors d'un discours devant les maires.
23h45 - Le leader insoumis, Jean-Luc Mélenchon a reproché mercredi au général de "prévoir des sacrifices qui seraient la conséquence de nos échecs diplomatiques sur lesquels son avis public n'a pas été demandé".
23h45 - Le leader insoumis, Jean-Luc Mélenchon a reproché mercredi au général de "prévoir des sacrifices qui seraient la conséquence de nos échecs diplomatiques sur lesquels son avis public n'a pas été demandé".
22h19 - Le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon a exprimé, mercredi 19 novembre, son « désaccord total » avec le chef d’état-major des Armées français, le général Fabien Mandon, qui a estimé que le pays devait « accepter de perdre ses enfants ».
21h54 - Le chef d'état-major des Armées français, le général Fabien Mandon, a estimé devant les maires de France que « si notre pays flanche parce qu'il n'est pas prêt à accepter de perdre ses enfants, de souffrir économiquement (...) alors on est en risque » en cas de conflit face à la Russie.
21h54 - Le chef d'état-major des Armées français, le général Fabien Mandon, a estimé devant les maires de France que « si notre pays flanche parce qu'il n'est pas prêt à accepter de perdre ses enfants, de souffrir économiquement (...) alors on est en risque » en cas de conflit face à la Russie.